lundi 18 février 2013

Un cochon fugueur



Il est bien gros, bien rose et il fait rire toute la Pologne. Un cochon épris de liberté a donné du fil à retorde aux policiers polonais. Ayant décidé de vivre sa vie dans la neige sans se soucier du monde, l'animal s'est posté au milieu d'une route. Évidemment, ça n'a pas plu aux automobilistes coincés par la bête. On remarquera au passage qu'ils ont eu la délicatesse de ne pas écraser le cochon fugueur.
Les policiers appelés à la rescousse auraient sans doute préféré avoir affaire à un bandit. Le cochon les a fait courir, glisser, tomber. Il leur a même fallu sortir du matériel pour attraper ce cochon décidément très agile. C'est grâce à un filet qu'ils en sont venus à bout.

(Source: Huffington Post)


jeudi 14 février 2013

Attaque de renard en Angleterre

Après le retour du loup dans le Gers,...
Après la panthère aperçue çà et là près de Grasse (et dont finalement plus personne ne parle, sans doute un gros Maine Coon)...
Un renard a fait parlé de lui en Angleterre, et pas qu'en bien.

Le 6 février dernier, durant son sommeil, un petit garçon âgé de quelques semaines a été attaqué par un renard qui lui a sectionné un morceau de la main.

Dans le quartier londonien de Bromley, le petit Denny dormait à son domicile quand un renard s'est introduit dans sa chambre. L'animal est parvenu à tirer l'enfant hors de son berceau, puis l'a traîné sur le sol avant de lui sectionner plusieurs doigts. Alertée par les cris du bébé, sa mère a fait fuir l'animal à temps, le sauvant d'un sort plus atroce. Hospitalisé au plus vite, le nourrisson s'en tire avec quelques points de suture à la joue et un bandage à la main gauche. La BBC a annoncé que les médecins auraient réussi à recoudre les doigts sectionnés, bien qu'il n'y ait pas de confirmation de l'hôpital.
La prolifération des renards dans la capitale britannique est un sujet d'inquiétude pour les autorités. Des spécialistes estiment la population à plusieurs milliers, il est d'ailleurs fréquent de croiser un spécimen à poil roux dans les rues de Londres. Diverses associations de défense des animaux insistent cependant sur le caractère exceptionnel de ce genre d'attaque, dû au tempérament craintif de l'animal.
Ce n'est, hélas, pas le premier cas d'attaque de renard en Angleterre. À Hackney, à l'est de Londres, deux petites filles de neuf mois ont, elles aussi, été blessées en 2010 par un goupil qui s'était introduit dans leur maison en pleine nuit. Les jumelles avaient été mutilées aux bras et au visage, comme le montrent les images du Daily Mail.
En réponse à cette attaque, le conseil de Lewisham avait tenu à rappeler quelques règles de sécurité aux habitants concernant la présence de renards en zone urbaine : par exemple, conserver les ordures comestibles à l'intérieur de conteneurs fermés ou pulvériser des répulsifs afin de rendre leur habitation moins attractive pour les animaux. L'incident du petit Denny a amené le maire de Londres, Boris Johnson, à rappeler la nécessité de limiter la prolifération des "nuisibles", en commençant par cesser de les nourrir. "Ils ressemblent parfois à des peluches, mais les renards sont aussi une nuisance, en particulier dans nos villes", a-t-il ajouté sur la BBC. Dans le but d'agir rapidement, les autorités anglaises vont se réunir prochainement afin de comprendre comment le problème a pu prendre autant d'ampleur.

(Source: Le Point)

Pluie d'araignées au Brésil



Arachnophobes s'abstenir. Mieux vaut pour eux ne pas passer leurs vacances à Santo Antônio da Platina, au Brésil.(...) Les araignées semblent avoir décidé de se pendre aux lignes électriques de la ville. Le résultat est effrayant.
Les bestioles en question sont de belle taille et visibles dès que l'appareil zoome un peu. Pourquoi ces araignées se sont comportées ainsi? On n'en est pas encore tout à fait sûr. Mais il est intéressant de noter que plusieurs espèces d'arachnides cohabitent dans les colonies afin de tisser ensemble de vastes toiles.
Leticia Avilés, un expert arachnide à l'Université de la Colombie-Britannique au Canada avait expliqué au New Scientist que sur les 39.000 espèces connues d'araignées, seules 20 d'entre elles sont prêtes à coopérer. Il a fallu que ça tombe sur elles. Pas de chance.
Anelosimus Eximius , une de ces espèces d'araignées, vit dans les climats tropicaux d'Amérique du Sud. Les scientifiques ont prouvé que les araignées "sociales" travaillent en équipe pour attraper des proies beaucoup plus grandes que si elles travaillaient en solo.
Il ne reste donc plus à espérer que cette vidéo est un trucage. Mais n'y comptez pas trop: le phénomène n'est pas nouveau. En 2007, en Argentine, un phénomène similaire avait été constaté.

(source: Huffington Post)